jueves, 28 de agosto de 2008

De las cartas imaginarias

Carta de un novelista imaginario a su personaje, que vive en un lugar lejano de nuestra ciudad.

Cher Monsieur Le Zoographe,

avant que vous jettez loin cettes lignes,

je ne vous ecris pas pour faire une valoration apologétique ou appauvrirante de votre travail, mais pour vous dire quelque chose sur la forme dans laquelle vous avez fait le métier que j’ai choisi pour vous: de voyager lá ou je ne peut pas aller, de vous rapporter de ces reveils que je perds chaque matin, et de reveiller ca que je ne reve pas, de porter ta pensée lá ou la mienne n’arrive pas. A difference de la majorité de mes autres personnages, qui sont rigueuressement chilangues, vous avez quitté notre ville, vous avez vu du monde, vous etes allez si loin de nous, que vous avez oublié notres noms. Comme la majorité de mes autres personnages, vous etes perdu, d’une certaine maniere exilé. Rien de nouveau pour vous, cher Zoographe, qui avez trop pensée sur beaucoup des choses, parmi lequelles, mais sans se rejouir d’un priorité spéciale, on trouve l’existence. Oui, c’est pour ca que je vous avez inventé, pour penser, pour reveiller avec la liberté que je ne possede, et avec l’envie de penser et reveiller que me manque. Je suis un homme de la terre, de la veille, empeché d’imaginer son âme separée de son corps, et paresseux a faire ca. Chaque jour j’entends moins Platon. Pendant que votres pillow books portent les noms d’Aristote, Plin l’Ancien, Bacon et Paul Valéry, je lis sur tout des romans, e je ne lirais que des romans si ca fût possible. Vous etes ca que nous pouvons appeler un intellectuel, un dilettante qui avez cherché votre mirroir dans les pages de Montaigne, dans le divan de Goethe, de Wilhelm Meister, dans la follie sistematique de Bouvard et Pecuchet, dans les cahiers à fort débit de Monsieur Teste… Vous etes quelle petite part de mon ouvre qui veut désigner la pensée pure, l’ Oμφαλoς ou les formes tournent a l’accolade arquetipique… Et d’abord vous avez un chien qui s'appelle Finnegan et vous etes aussi triste que Bartleby, dont vous le cachez avec le masques de rejouissance que vous avez appris (je l’ai volu ainsi) en lissant Oscar Wilde. Finalement j’ai mis sur ton destin la condition de qui a du fric pour acheter teles extravagances. Rien de plus loin de ma situation, Monsieur Le Zoographe. Je mange mon pain et je coupe des fleurs de la terre, pas du ciel. Mes bras son courts pour attraper de fruits empyréens, ou pour voler comme les animaux magiques dont portrait vous essayez dans tes ecrits. Mes bras sont, pourtant, assez longs pour travailler et pour embrasser un etre de chair: il n’y a pas besoin de plus pour ecrire un roman. Mais votres ecrits, si plein de la mythologie…

Je me souviens, Monsieur Zoographe, de ca que vous avez dit une fois, sur la forme de l’univers, aprés un reve voyant: que l’univers a la forme d’un dragon démesuré, qui au lieu d’ecaillure a des lunes de mirroir, et qui dorme. La respiration apaisée du lézard constitue le rotation planetaire, et quand il remue sa queue ou sa teste, quand son grand panse mercuriel ronfle et mugit, les mirroirs se regardent unes les autres, et notres vies sont ces jeux de réflets.

Aprés avoir vu mon visage a la perplexité, vous avez gentilment donné des examples:
Borges dissait que les consequences d’un acte sont infinies. Il’y a un conte par Ray Bradbury ou un homme qui possede la machine a explorer les temps, va au passé et marche sur un fleur prehistorique: quand il rentre il trouve tout changé, un autre monde. La theorie de Prigogine sur les estructures disipatifs est devenue populaire a cause de sa subtehorie du chaos...
Encore la perplexité.

(...)

Votre creauteur, votre pauvre demiurge, votre pere amoureux...

1 comentario:

Valdemar Ramírez: dijo...

Je ne entendié ni papé pas.