jueves, 28 de agosto de 2008

De las cartas imaginarias

Carta de un novelista imaginario a su personaje, que vive en un lugar lejano de nuestra ciudad.

Cher Monsieur Le Zoographe,

avant que vous jettez loin cettes lignes,

je ne vous ecris pas pour faire une valoration apologétique ou appauvrirante de votre travail, mais pour vous dire quelque chose sur la forme dans laquelle vous avez fait le métier que j’ai choisi pour vous: de voyager lá ou je ne peut pas aller, de vous rapporter de ces reveils que je perds chaque matin, et de reveiller ca que je ne reve pas, de porter ta pensée lá ou la mienne n’arrive pas. A difference de la majorité de mes autres personnages, qui sont rigueuressement chilangues, vous avez quitté notre ville, vous avez vu du monde, vous etes allez si loin de nous, que vous avez oublié notres noms. Comme la majorité de mes autres personnages, vous etes perdu, d’une certaine maniere exilé. Rien de nouveau pour vous, cher Zoographe, qui avez trop pensée sur beaucoup des choses, parmi lequelles, mais sans se rejouir d’un priorité spéciale, on trouve l’existence. Oui, c’est pour ca que je vous avez inventé, pour penser, pour reveiller avec la liberté que je ne possede, et avec l’envie de penser et reveiller que me manque. Je suis un homme de la terre, de la veille, empeché d’imaginer son âme separée de son corps, et paresseux a faire ca. Chaque jour j’entends moins Platon. Pendant que votres pillow books portent les noms d’Aristote, Plin l’Ancien, Bacon et Paul Valéry, je lis sur tout des romans, e je ne lirais que des romans si ca fût possible. Vous etes ca que nous pouvons appeler un intellectuel, un dilettante qui avez cherché votre mirroir dans les pages de Montaigne, dans le divan de Goethe, de Wilhelm Meister, dans la follie sistematique de Bouvard et Pecuchet, dans les cahiers à fort débit de Monsieur Teste… Vous etes quelle petite part de mon ouvre qui veut désigner la pensée pure, l’ Oμφαλoς ou les formes tournent a l’accolade arquetipique… Et d’abord vous avez un chien qui s'appelle Finnegan et vous etes aussi triste que Bartleby, dont vous le cachez avec le masques de rejouissance que vous avez appris (je l’ai volu ainsi) en lissant Oscar Wilde. Finalement j’ai mis sur ton destin la condition de qui a du fric pour acheter teles extravagances. Rien de plus loin de ma situation, Monsieur Le Zoographe. Je mange mon pain et je coupe des fleurs de la terre, pas du ciel. Mes bras son courts pour attraper de fruits empyréens, ou pour voler comme les animaux magiques dont portrait vous essayez dans tes ecrits. Mes bras sont, pourtant, assez longs pour travailler et pour embrasser un etre de chair: il n’y a pas besoin de plus pour ecrire un roman. Mais votres ecrits, si plein de la mythologie…

Je me souviens, Monsieur Zoographe, de ca que vous avez dit une fois, sur la forme de l’univers, aprés un reve voyant: que l’univers a la forme d’un dragon démesuré, qui au lieu d’ecaillure a des lunes de mirroir, et qui dorme. La respiration apaisée du lézard constitue le rotation planetaire, et quand il remue sa queue ou sa teste, quand son grand panse mercuriel ronfle et mugit, les mirroirs se regardent unes les autres, et notres vies sont ces jeux de réflets.

Aprés avoir vu mon visage a la perplexité, vous avez gentilment donné des examples:
Borges dissait que les consequences d’un acte sont infinies. Il’y a un conte par Ray Bradbury ou un homme qui possede la machine a explorer les temps, va au passé et marche sur un fleur prehistorique: quand il rentre il trouve tout changé, un autre monde. La theorie de Prigogine sur les estructures disipatifs est devenue populaire a cause de sa subtehorie du chaos...
Encore la perplexité.

(...)

Votre creauteur, votre pauvre demiurge, votre pere amoureux...

Nota muséica

El hilo de Ariadna es también la memoria amorosa. El palacio de Minos estaba poblado por mujeres en paños menores que como gesto de hospitalidad eran ofrecidas al visitante. Pululaban los efebos. Al igual que la mítica Creta, el laberinto del Minotauro pudo haber estado lleno de congales. Lo que hizo Teseo fue atar el hilo de su amada a su dedo gordo para no extraviarse.
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Así hice yo con tu recuerdo cuando me perdí en las cuadras sombrías que se extendían detrás del bar Sanabria, allá abajo.
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Con la memoria destrozada por varios años de descenso al interior de la tierra, pregrino de un museo subterráneo de la desmemoria y la soledad, caminé a la vera de un abismo que a veces fue la locura. Nunca sufrí una caída definitiva. Tampoco un olvido definitivo: cuando no tuve nada, tu nombre fue mi única posesión. Llegado fue el momento en que sólo podía recordar tres o cuatro cosas de mi pasado en el Dé Efe, durante mi exilio en el museo del extravío, durante mi extravío en el museo del exilio. Menos aún cuando supe que la vida no me sería suficiente para volver a encontrarme contigo, olvidé tu nombre, mujer. Lo estreché empapado en mis manos.
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Sin embargo, por los tiempos en que trabajé en el bar Sanabria, y tomé parte en la revuelta que organizó Cristóbal Inés, aún no recibía la noticia de tu muerte. Esta herida gigantesca no había cobrado forma.

martes, 19 de agosto de 2008

De las cartas imaginarias

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Es en el prefacio a Altazor qué no?, donde Chente Huidobro recomienda escribir en una lengua que no sea la materna... Pos pa honrar al autor del canto número dos (Mujer, el mundo está amueblado por tus ojos...), yo me fleté una cartita en francés. Con sus piojos ortográficos y todo (faltan todos los acentos circunflejos, es una güeva andarlos insertando), que ya tendré que expurgar. Pido chance. La carta la dirigí a un pasajero desconocido, y después la traduji al castigliano. Aquí un fragmento.
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Lettre a un passeger du métro
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Ville du Mexique, l’an deux mille huit
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Alors,
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voyager des profondeurs, à l’ame semisouterraine du notre siecle, ni Ulysse, ni Robinson, ni Gulliver, ni Marco Polo, ni Humboldt, parmi autres grands voyageurs, peuvent ensemble rivaliser avec tes périples chilangues par les tripes chaudes de notre ville.
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Sais-quoi?, lá sous, parmi des lézards oranges, ton visage semblable a une perle enfilée dans un collier de visages sans fin, et la musique et les odeurs d’intensité variable, s’agitent les deux extremes de toute science humaine: la physique et la métaphysique, mariées indisolublement dedans ton experience au dessous. Pourquoi, tu peut demander, pourquoi la physique? Porquoi la métaphysique? Pourquoi mariées? Phyisique, a cause de la haute quantité des ames qui coïncident dans ces points de l’univers qui sont les stations de metro, et sur tout a cause des corps, incroyable dans leur diversité, qui entourent telles ames, et qui, a difference d’elles, sont strictement soumis a la loi de Hooke (ut tensio sic vis), second laquelle la deformation elastique des corps solides est proportionnel a la force des passegers qui sortent ou abordent le wagon; métaphysique, a cause du sentiment d’etre un poisson dans un resau invisible. Physique, a cause de l’itinéraire vérifiable topographique et empiriquement des trains, et de leur trajectoire newtonienne, n’importe pas vers quelle maison zodiacale ils se déplacent; metaphysique, a cause des lumiéres blanches et violettes qui ondoyent au bout du tunnel. Physique, comment est assez démontré par la susceptibilité exocrine des corps au niveau de temperature, et le consequent accomplissement de leur functions regulatrices et hidroses: suer, evacuation poreuse des liquides, refrigeration endocrine. Autant que l’accomplissement de functions regulatrices par la densité atmosferique sur les liquides, en les tournant en quintessence et en les remettant sans discrimination a l’odorat humaine. Metaphysique: a cause de l’arôme de cheveux mouillés au matin, de parfums d'employées nocturnes et d'agées, de la fraîcheur des joues infantiles, de tailleurs suffocants, de toile brullé sous les roues, et de la quintessence. Physique: a cause du Domino’s Pizza dans les stations Tacubaya, Tacuba, Centro Médico, Pino Suárez, etc… Metaphysique: A cause des noms des stations: Barranca del Muerto, Talismán, Etiopía, Salto del Agua, Observatorio, Lindavista, La Raza.
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Que en nuestra lengua sería más o menos:
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Carta a un pasajero del metro
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Ciudad de México, año dos mil ocho
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Entonces,
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viajero de las profundidades, con el alma semisubterránea de nuestro siglo, ni Odiseo, ni Marco Polo, ni Robinson, ni Gulliver, ni Humboldt, entre otros grandes viajeros, podrían rivalizar con tus periplos chilangos por las tripas calientes de nuestra ciudad.
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Sabes qué?, allá abajo, entre lagartos anaranjados, tu rostro semejante a una perla ensartada en un collar de rostros sin fin, y la música y los olores de intensidad variable, se agitan los dos extremos de toda ciencia humana: la física y la metafísica, casadas indisolublemente al interior de tu experiencia bajo tierra. Por qué?, podrías preguntarme, por qué física? Por qué metafísica? Por qué casadas? Y yo podría responderte: Física, a causa de la elevada cantidad de almas que coinciden en esos puntos del universo que son las estaciones de metro, y sobre todo, a causa de los cuerpos, increíbles en su diversidad, que rodean a esas almas, y que, a diferencia de ellas, están estrictamente sometidos a la ley de Hooke (ut tensio sic vis) según la cual la deformación elástica de los cuerpos sólidos es proporcional a la fuerza de los pasajeros que salen del vagón o lo abordan; metafísica, a causa del sentimiento de ser un pescado en una red invisible. Física, a causa del itinerario, verificable topográfica y empíricamente de los trenes, y de su trayectoria newtoniana, no importa hacia qué casa zodiacal se desplacen. Metafísica, a causa de las luces blancas y violáceas que ondean al fondo del túnel. Física, como queda suficientemente demostrado por la susceptibilidad exócrina de los cuerpos al nivel de la temperatura, y consecuente cumplimiento de sus funciones reguladoras e hidrosas: sudar, evacuación porosa de líquidos, refrigeración endócrina. Tanto como el cumplimiento de funciones reguladoras por la densidad atmosférica sobre los líquidos, tornándolos en quintaesencia, y entregándolos sin discriminación al olfato humano. Metafísica: A causa del aroma a cabellos mojados en la mañana, de perfumes de empleadas nocturnas y de ancianas, de la frescura de las mejillas infantiles, de sofocantes trajes, de hule quemado bajo las ruedas, y de la quintaesencia. Física: a causa de los Domino's Pizza en las estaciones de Tacubaya, Tacuba, Centro Médico, Pino Suárez, etc. Metafísica: a causa de los nombres de las estaciones: Barranca del Muerto, Talismán, Etiopía, Salto del Agua, Observatorio, Lindavista, La Raza.

domingo, 17 de agosto de 2008

Cambios en la vida de una joven mujer



Pasaron tres meses después de aquella tarde, en los cuales Simbelina creyó que había sido engañada. En más de una ocasión, habiendo vencido sus pavores, acudió en busca del lugar donde había acontecido su encuentro con el Callado, aunque hubiera preferido mil veces encontrarse antes con cualquiera de sus ayudantes, incluso con el que había abusado de ella, antes que estar nuevamente en la terrible presencia del que no tenía una sino dos voces. Nunca logró dar con aquella sede nocturna, y al cabo de dos meses comenzó a llegar la resignación, acostumbrada como estaba a que su vida fuera reacia, marcada por la frustración y el tedio. Salió de la casa donde vivía con su madre en Iztapalapa, y fue en metro hasta Pino Suárez, esperando encontrar a un amigo suyo que atendía un puesto de ropa en la plaza. Cuando subía las escalinatas rumbo a la superficie, una anciana limosnera le cerró el camino, de pie en el siguiente escalón: le extendió el cuenco de las monedas boca abajo, casi le tocaba el rostro con uno de los bordes. Simbelina subió dos escalones y procuró seguir adelante por un costado de la anciana, pero cuando estuvo más cerca de ella un hilo de voz le dijo: no se desespere, chiquilla… Y cuando se volvió para mirar a la desamparada, se percató de que tenía un nubarrón brillante en uno de los ojos, mientras que el otro atisbaba incierto. Unos dientecillos almenados dejaban salir una sonrisa tenue, chacotera. El cuenco de las monedas había vuelto a su posición lógica. Simbelina sacó de su chamarra dos pesos. La vieja murmuró una bendición al sentir el golpecito de la moneda en el cuenco de plástico, y con su mano de manglar guardó de inmediato la dádiva en un costalito que colgaba sobre su cadera, y que cubría una punta del chal. Simbelina recordaría ese momento mucho tiempo más tarde.
O quizá sería mejor decir un sueño de camaleones bajo el sol, la sobremesa marginal de los lagartos.
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Una metáfora inmemorial, asumida como verdad mítica de la creación por varios pueblos precolombinos, entre ellos los mayas y los toltecas, asegura que la tierra es un gran cocodrilo, y que su espalda alguna vez estuvo cubierta de montañas. En el Museo de Antropología, a lo largo de varias salas, abundan las estelas y las figurillas que una y otra vez nos reiteran esa misma protometáfora, tal y como ocurre en la tradición poética desde que se acuñó la Epopeya de Gilgamesh, ciertamente una reiteración de algo que ya existía al interior de otra tradición, la oral. Mímesis que bordan un testimonio de la realidad, la vuelven legible, entregan el todo no mediante la suma, sino gracias a una cierta combinación de sus partes, procedimiento par excellence de los tropos y las sinécdoques de la poesía y del mito. Para suplir la insuficiencia del lenguaje, es necesario dotarlo de nuevos poderes significativos, y así lograr que la palabra cocodrilo alcance para nombrar la tierra, más aún que la palabra tierra. Es un trozo de memoria divina que prevalece en el imaginario prehispánico de manera fragmentaria, disipativa, semejante a los restos de un sueño.
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En todas partes los hombres han soñado con dragones y ofidios alados, con serpientes.
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Una representación del Ouroboros, la serpiente de la eternidad que se muerde la cola, aparece en el Codex Marcianus, uno de los tratados más antiguos (siglo II d.C.) que se conserva de la alquimia helénica, complementa la imagen fabulosa con una inscripción que dice: Hen to Pan (El Uno, El Todo), es decir, el punto de existencia donde no existe la ruptura entre significante y significado. Pensar en otros mundos, en otras vidas, en fin, en la muerte, es pensar en otras formas de lenguaje, y el sueño es otra forma de lenguaje.
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El dios Thor de la mitología escandinava doblegó a la serpiente Midgård, alegoría del caos primordial, y después la dejó en libertad...

martes, 12 de agosto de 2008

El que esté libre de pecado

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"Avant de lancer une pierre, il faut en outre savoir la choisir.
Se baisser et ramasser instinctivement celle dont le poids
et la forme se prêtent le mieux au lancer :
tout un art qui demande des années."
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Michel Tournier,
Les chiens de Palmyre (ou Dites-le avec des pierres)
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En La Jornada, 12/08/2008, 09:23, versión electrónica. Museo de las cosas perdidas:
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"Una piedra tirada por sujetos (sic et nunc) hizo un hoyo en fragmento que corresponde al pecado original.
Dpa

París. Desconocidos causaron daños en una vidriera de la catedral francesa de Metz realizada por el artista Marc Chagall, según informó este martes a la agencia Dpa el portavoz del arzobispado local, Philippe Hiégel.

'El agujero, de unos 60 por 60 centímetros, se encuentra irónicamente en el trozo que corresponde al pecado original', afirmó Hiégel.

Los ladrones llegaron hasta la ventana en la noche del sábado pasado a través de un terreno en construcción y rompieron la ventana con una piedra.

El surrealista Chagall, nacido en Bielorrusia, pintó la vidriera en los años 60. Los ladrones se llevaron sólo unas medallas y anillos por valor de unos pocos euros de la tienda de souvenires."

(Se rumora que los yanquis han manifestado interés en hacerse de los servicios del artillero iconoclasta, especie de Roger Clemens de la condenación. Una intención aciaga, una violenta sacudida de las bestias que sueñan bajo las escamas, un pedo de dragón. De ahora en adelante la mencionada vidriera blíblica del Marc Zajarovich Chagall (Марк Захарович Шагал), sólo podrá ser vista en algún museo de cosas perdidas, incluso si es restaurada. Pero no les aconsejo que vayan en su búsqueda, porque los que van ahí se pierden. Es mejor resignarse, figurarse una o dos de las esquirlas infinitas que alberga un rompecabezas de cristal y procurar alguna explicación de lo que la historiografía bien podría aceptar como un hecho, otro motivo de duelo para Clío, una ofrenda pagana. Mnemósine con su vestido negro de cocktail, recibiendo los votos de lo que se ha perdido para siempre. (Cahier Élisenne: il s'agit d'une histoire sur une pierre jetée au Paradis. Et sur les amants jettés du lá. Par millieres de millions. Autant que des pierres on peut trouver en faisant une promenade sur la plage.)

domingo, 10 de agosto de 2008

El fondo del blog es negro, al igual que muchos de mis cuadernos... Me gusta el negro, ayuda a conservar el calor.

De las cartas imaginarias

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"Bueno, yo le doy las gracias por algunas cosas
que usted ni sospecha."
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Juan Carlos Onetti, Para una tumba sin nombre
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Tienes un estuchito rosa donde guardas tus lentes, cuando lo abres puedo ver que el anillo que tienes puesto en el dedo anular izquierdo no parece una sortija nupcial, pero sé que no todos los compromisos tienen forma de anillo, y que no todos los anillos ciñen compromisos. Me gusta tanto mirarte sentada en el pupitre de la esquina, con tu gargantilla azul de cuentas y los bajos de los pantalones plegados hacia afuera, enseñando el lado más claro de la mezclilla, el cruce ligero de tu pierna, tu blusa sin mangas, generosa y colorida, tus zapatillas negras con arabescos bordados, tu mano pasando tu pelo por detrás de tu hombro. Luego apoyas las manos una sobre otra en tu regazo, sobre el sueño de mil tigres silenciosos, hasta que tomas un libro del escritorio, y te pones a leerlo con tu mejilla suavemente recargada en nudillos gentiles, inclinando el rostro con la atención de un retrato de Modigliani. Lo primero que vi en tu mirada fue una ternura hecha de discernimiento, de bondad inocente, impremeditada, y ese candor que da la miopía, la ilusión que empequeñeció tus ojos una vez que te quitaste los lentes mientras te observaba: las luces de dos barcos a punto de remontar el horizonte. Pero eso no me bastó para recordar tu mirada cuando quise hacerlo. Algo faltaba para fijar el recuerdo. Lo supe después, cuando te vi la tercera, la cuarta, la sexta vez... Así fui encontrando esa ironía dulce que anida en tus ojos, y que me hizo sentir vivamente la amplitud y la ligereza de tu corazón de barca meridiana, su trayecto de papalote en las manos de una niña.
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Por un instante.

sábado, 9 de agosto de 2008

Ésele mi Morfiiiiii

Plugo a la Providencia me provea de no ser alcanzado por el brazo silenciador del Cop Yrrait, moderno policía de un oscurantismo ancestral, y me discuto con unos fragmentos, más que nada frases, de esta novela encantadora, que lleva el título de Murphy, publicada en 1938 por el irlandés Samuel Beckett. Cuando tenga tiempo los ofreceré traducidos al chilango demótico, pa que todos puédamos ir leyendo en la micro, bien felipes y con tenis.
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"For Murphy had such an irrational heart that no physician could get to the root of it. Inspected, palpated, auscultated, percussed, radiographed and cardiographed, it was all that a heart should be. Buttoned up and left to perform, it was like Petrushka in his box. One moment in such labour that it seemed on the point of seizing, the next in such ebullition that it seemed on the point of bursting. It was the meditation between these extremes that Neary called the Apmonia. When he got tired of calling it the Apmonia he called it the Isonomy. When he got sick of the sound of Isonomy he called it the Attunement. But he might call it what he liked, into Murphy's heart it would not enter. Neary could not blend the opposites in Murphy's heart."
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"Of such was Neary's love for Miss Dwyer, who loved a Flight-Lieutenant Elliman, who loved a Miss Farren of Ringsakiddy, who loved a Father Fitt of Ballinclashet, who in all sincerity was bound to acknowledge a certain vocation for a Mrs West of Passage, who loved Neary.
'Love requited,' said Neary, 'is a short circuit,' a ball that gave rise to a sparkling rally."
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Secondo la mia umile traduzione traditora:
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"Tal era el amor de Neary por la Señorita Dwyer, que amaba a un Teniente de Vuelo Elliman, que amaba a la Señorita Farren de Ringsakiddy, que amaba a un Padre Fitt de Ballinclashet, quien siendo sinceros se sentía obligado a reconocer una cierta vocación por una Señora West de Passagge, que amaba a Neary. ‘El amor correspondido’, decía Neary, ‘es un corto circuito,’ una bola chispeante que aceptaba el reto."
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"The part of him that he hated craved for Celia, the part he loved shrivelled up at the thought of her."
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" 'You are not going', said Murphy.
'Before I'm kicked out', said Celia.
'But what is the good of going merely in body?', said Murphy. "
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"Celia loved Murphy, Murphy loved Celia, it was a striking case of love requited."
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"Me as I am. You can want what does not exist, you can´t love it."
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" 'What a bust!', he cried at length, as though galvanized by this point in his reflections. 'All centre and no circumference!' "
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" 'Why the black envelope', she said, 'and the different coloured letters?'
'Because Mercury', said Murphy, 'god of thieves, planet par excellence and mine, has no fixed colour.' He spread out the sheet folded in sixteen. 'And because this is blackmail.' "
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"A feature of Miss Counihan's attitude to Neary had been the regularity of its alternation. Having shown herself cruel, kind, cruel and kind in turn, she could no more welcome his arrival at her hotel than green, yellow, green, is a legitimate sequence of traffic lights."
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" 'Humanity is a well with two buckets', said Wyllie, 'one going down to be filled, the other coming up to be emptied.' "

domingo, 3 de agosto de 2008

Por un Labrador
fui construida
sin interés y con un don celoso
me llamó SARANELA
México Dé Efe
1999

Inscripción en una placa de bronce sobre el pedestal de una estatua alada.

De las cartas imaginarias

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" ...ces lumières simples et naturelles…”
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Le Philosophe Inconnu, De l'esprit des choses,
ou coup d'oeil philosophique
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Existen, Elisa, muchos tipos de historias. Y el mundo está lleno de ellas, millones y millones de pájaros infatigables cantando en una gran jaula redonda, una sola, tumultuosa canción: tan larga que sólo a los dioses les fue dado escucharla completa. Es por eso que un humilde sabio latino acuñó la máxima: ars lunga vita brevis. Porque supo que el destino de los hombres y las mujeres consiste en entrar al concierto una vez que éste ha comenzado, y en abandonar la sala casi de inmediato, antes de la caída del telón, antes de la nota final. Y lo que nos toca escuchar son apenas unas cuantas notas, o tal vez, un trozo de nota, un soplido del flautista, un golpe de platillos, un silencio. Sin embargo, también está en nuestro destino el querer escuchar un poco más de los que nos corresponde, porque somos humanos, y queremos oír, queremos ver, queremos enterarnos. Enterarnos, Elisa, justamente eso. Nuestra curiosidad, a diferencia de nuestro conocimiento, es tan grande como el cosmos. Después de todo, a quién no le gusta que le cuenten historias. No importa si se trata de una señora que religiosamente sintoniza los culebrones del dos, o de un adolescente que se asombra al escuchar las aventuras amorosas de sus amigos más experimentados (más fanfarrones), o de un Don Quijote que se chutó cuanta novela de caballerías llegó a sus manos. Nuestra vida es mínima y nunca se basta por sí sola: ni siquiera Adán, que tuvo el jardín de los jardines para él solo, estuvo completo hasta que Dios creó a Eva. Pero para entonces era tarde, pues la soledad ya había sido inventada, y es una de esas cosas, como la hominización de los primates, como la industrialización y el deterioro ecológico, que no tienen marcha atrás. Es de suponerse, pues, que lo primero que hicieron Adán y Eva cuando estuvieron corazón a corazón fue ponerse mutuamente al corriente, contarse las noticias, informarse de lo que había pasado hasta entonces; y así la memoria, como el amor, nació a partir de una costilla de la soledad. El resto del cuento es bien conocido (¿no te parece increíble?, estamos al día con las últimas noticias del Paraíso, pero quién podría decir en este momento cómo se llama el secretario de defensa de Guatemala, o cuántos habitantes hay en Tegucigalpa): tenían tan poca experiencia, los novios de la rosa celeste, en su unión libre estaban tan libres de malicia en las cuestiones mundanas, que se dejaron embaucar por una víbora, hazme el favor. De tal suerte los siglos vieron el nacimiento del tiempo y del matrimonio. Ambos por un descuido. En fin, que las historias circulan por la tierra, y le dan sentido a sus giros, desde tiempos muy remotos.

Yo sé unas cuantas historias, ya porque las he vivido (las menos), ya porque las he escuchado, leído o soñado (las más). Sé también que en ningún libro de historia universal encontraré la historia del universo, y que un cuento acerca de una mosca (no hay como los de Tito Monterroso) o acerca de una piedra (Kafka las hacía hablar) puede revelarnos más acerca de la totalidad. Pese a lo cual, tomo clases en un aula donde no se habla de moscas ni de piedritas, y por desgracia se habla poco de Kafka y de Monterros, sino de Tucídides y el agarrón del Peloponeso (sin albur), de Carlomagno y Tamerlán, el sabio feroz, de las estelas mayas (piedrotas) y la Ollin Tonatiuh de los aztecas (piedra de sol). Así, si la ficción no resulta, probaré a contar historias de a de veras. Uno tiene que hacer algo de su tiempo, ocuparse. Como Sísifo, que entretuvo los largos siglos del averno desplomando una piedra de lo alto de un cerro, para luego bajar por ella, rehacer la cuesta y soltarla de nuevo, incansablemente. Sísifo was a rolling stone.
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Aunque no hay historias mejores ni peores, ni verdaderas ni falsas, ni objetivas ni subjetivas, y eso era lo que iba a decirte, mia cara Elisa, que muy en el fondo todo nos habla un poco de lo mismo.
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Cuando veo a la gente todos los días en el metro, en las calles, en los salones de clases, trato de imaginarme sus grandes victorias, que pocos conocen, cada una de las veces que un chico que viaja con una playera de rayas moradas, escuchando música, por la línea café, o una mujer morena que vuelve de trabajar de una oficina, contenta porque le tocó ir sentada, en fin, los momentos en los que cada uno de esos seres sin nombre ni pasado y rostros hechos de aire, han enfrentado al dolor y a la pérdida, y cómo ahí siguen, y me parece ver más cada día, más batallas que se desarrollan en incontables ojos y silencios y bolsas de librerías Gandhi o playeras y tenis con una palomita afilada. Ahí, me digo cuando encuentro los ojos de otro hombre, ahí duermen y sueñan tantas historias, ahí también habitan la alegría, la derrota, la equivocación y la esperanza... En fin, de alguna forma hay que pasarse el rato que dura el viaje. Últimamente el metro se demora eternidades. Hace poco una amiga pasó veinticinco minutos en un túnel, con los vagones a reventar, y las luces que se habían extinto, merced a una interrupción eléctrica. Con el calorón de una mañana de julio en la capital, metros y metros bajo tierra. Verdaderamente una siesta de dragones, no lo crees?
"Omnis qui bibit hanc aquam, si fidem addit, salvus erit."

Inscripción en un pozo de aguas fantásticas en Notre-Dame de Limoux (Aude)

viernes, 1 de agosto de 2008

Guórquinprogres

Fragmentos narrativos.


Todo comenzó cuando una de las lápidas amaneció hecha pedazos, una calurosa mañana de julio. Informada sobre el incidente, la directora del cementerio afirmó de inmediato que se trataba de un acto vandálico, perpetrado por los vagos que irrumpían de noche y se ponían a tomar entre las tumbas, y dio orden de que se incrementara la vigilancia en los alrededores del predio. Uno de los marmoleros, de nombre Israel, tomó la provisión de “parchar" el recuadro de tierra apisonada con una puerta que había sobrado de la última remodelación de las oficinas y la colocó sobre la tierra una vez que la emparejó, y después reunió los pedruscos de granito en una bolsa negra. Antes de eso, había juntado algunas piezas del rompecabezas, por un momento los pedruzcos hablaron el nombre de Jacinto Domitilo Paniagua Sánchez, y los años 1950 – 2005. No había sido él quien lo enterrara: para entonces corría el año de 2006, e Israel apenas estaba cumpliendo ese día un mes trabajando como marmolero en Jardín. Depositó su cosecha lítica en un tambo anaranjado y dio unos tragos a su coca cola. No concebía que alguien se hubiera ensañado de tal modo con la lápida de un difunto. Además, él tenía conocimiento de algunos de los que entraban por la noche a beber, y aunque condenaba sus irrupciones furtivas, de ningún modo conocía a alguien capaz de perpetrar un acto así. Pensó que se podía haber tratado de un accidente, pero aún así le costaba figurárselo. Ya se vería lo que en verdad pasó.

Ciertas cosas han venido ocurriendo de un modo determinado desde tanto tiempo atrás, que a veces nos olvidamos de tomar las precauciones más elementales para lograr la preservación de ese orden natural. Olvidamos la antigüedad utilitaria de algunos ritos. La muerte, por ejemplo, es uno de esos ciclos antiguos. La fe y la experiencia de millones de almas sabe, como ya lo decía uno de mis maestros historia, que de ésta nadie sale vivo. De esa cifra general podemos deducir el grupo, que seguimos contando por millones, de quienes creen al pie de la letra que Lázaro fue resucitado por el imperio del verbo y el amor de Jesucristo. Esas contradicciones son la vida del corazón humano. Sin embargo, el evangelio de San Juan nos informa que la orden de Jesús ante el abrigo rocoso donde habían dispuesto el cuerpo amortajado de Lázaro, fue: “Quitad la piedra”. En ninguna fuente se lee que el Salvador haya ordenado: “Abrid la puerta”. Y eso se explica porque los hombres desde tiempos ancestrales han señalado, y asegurado, el lugar donde duermen los muertos, con materiales hechos de roca. Si considerásemos de antemano la posibilidad de que los durmientes de la tierra despertasen un día a los que alguna vez fueron sus cuerpos, es claro que no colocaríamos lápidas encima de sus lechos ni envolveríamos su sueño en resistentes mausoleos. En ese caso, haríamos precisamente lo que el ingenio de Israel improvisó para socorrer de momento el sueño de Jacinto Domitilo: a la entrada de su descanso pondríamos puertas en lugar de macizos, con tal de facilitar su eventual retorno.
Una vena de luz se dibujó en el cielo de avenida Toluca.

Esa puerta se va a pudrir luego, vaticinó Israel cuando vio los nubarrones que amenazaban con derramarse por la colina. En silencio atendió al rugido del viejo trueno. Por el lado del Periférico se veía también un follaje azul que emborronaba el camino de regreso, a la altura de la gasolinera donde tomaría el segundo pesero hacia la estación Barranca del Muerto.

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A un año de su muerte fui a llevarle una cajetilla de cigarros al panteón. Nunca estuve de acuerdo en que fumara, como tampoco convine en que su cuerpo fuese inhumado. Lo mejor hubiera sido cremarlo, así lo habría querido el viejo. Pero estoy tan lejos del círculo familiar en el que se toman estas determinaciones, que ni siquiera di a conocer mi opinión. No estuve en condiciones de aportar un centavo para los gastos del sepelio. Concurrí a todo el ceremonial fúnebre y estuve en cada misa del novenario. Esta vez vine solo. Me detengo cerca de su sepulcro, fumo y observo las alas de una estatua que mira hacia la copa de uno de los árboles, señala con su dedo chispeante un sitio meridiano, apoyando un pie y la punta del otro en su pedestal. Dos enormes lunas de piedra erosionada brotan de su espalda, como grandes cabezas de hacha, un rostro sin edad con la barbilla levantada, soportado por un cuello angélico y carcomido. El aire se lleva el humo hasta la estatua, la rodea con un breve listón de niebla. Sobre la cantera que custodia hay una inscripción con el nombre de una persona y otra con un compás y una escuadra, a dos parcelas de distancia de donde yacen los restos de mi padre, un tal Adalberto Inés.

Cristóbal Páramo. Cristo Valedor. Cristo bal panteón.

Es la segunda vez que ese señor y yo estamos juntos en un panteón. La primera fue la mañana de su entierro. Recuerdo ahora el flirteo de dos mariposas que revolotearon sobre la fosa momentos antes de que arrojaran la primera paletada de tierra. Nuestra madre hubiera querido abrazar a alguno de sus hijos, pero se mantuvo sola frente a la última visión del ataúd gris plata que su hermano mayor había pagado. Yo estaba algo apartado del resto y miraba recargado en la cadera de la estatua. Rimescu era abrazado por su novia y dos amigos más lo acompañaban. Vi a mi madre a punto de quebrarse, con las manos una sobre otra a la altura de su vientre, un bolso negro de asa larga que casi nunca usaba colgado del hombro derecho, me percaté de lo delgada que estaba, a parte de que la ropa negra destacaba sus rasgos alargados, e incrementaba su pena. El tío José Alejandro y su esposa Tere, a la que todos llamaban Teisy, esperaban en el automóvil; el tío se había excusado diciendo que el estacionamiento era un relajo y que mejor era ir sacando de una vez el auto. De ahí el tío nos llevó a todos a comer a un restorán de Prado Sur. Yo le tomé la palabra a su probidad compensatoria y ordené un gran trozo de filete y una copa de vino. Me despaché como hacía tiempo no tenía ocasión de hacerlo, pero no es momento de hablar de mi penuria. Mejor es decir que mi madre y mi hermano, con no menos apetito, ordenaron alguna discreta pasta, ensaladas, y bebieron manzanita y agua mineral.

*

El cielo se rompió temprano en la noche. Para entonces Cristóbal Inés se dirigía a una reunión al norte de la ciudad. A su regreso de la tumba de su padre había tomado la micro todo Periférico desde Televisa hasta las torres de Satélite, donde se apeó e ingresó en una taquería que se reflejaba en un estacionamiento anegado, a esperar que el agua amainara un poco. Pero siguió lloviendo a cántaros. Pagó la cuenta después de cuarenta minutos y caminó diez cuadras cuadras bajo la lluvia para presidir el encuentro de la Tétrada, que tal era el nombre del círculo disidente que formó Cristóbal con antiguos compañeros de la universidad. La última imagen que veremos de él, antes de volver al panteón, es la de sus anchos hombros de remero xochimilca abriéndose paso entre firmes agujas de lluvia que se irisan de pronto, bajo los reflectores que van despertando sus pisadas desiguales, de pesado péndulo, su barba escurriendo y la punta del bastón que anunciaba su llegada a casa de Vicente, con un claqueo en el mosaico, su saludo seco ante las miradas de los concurrentes, de inmediato reparó en dos rostros nuevos, unos chavitos, y en la reconfortante ausencia del lobo, que se podía sentir en el aire de aquel coloquio. Vemos también a una mujer que pone el cenicero que tiene sobre el regazo en una mesita con libros, apaga en él una espera, se levanta de un raído sillón verde que cruje, y va y abraza al joven Inés, su humanidad de árbol mojado, y estrechando los brazos nudosos y desapegados, donde ella había depositado tanto amor y tanta angustia, le dice, Cristóbal, tuve una pesadilla loquísima anoche, necesito contarte... Hueles a alcohol. De dónde vienes? Fui al panteón. Y adivina... Vi pasar un águila en el rato que estuve ahí...

Ante la magnitud de la tormenta, no hubo necesidad de hacer los rondines de vigilancia nocturna. Los veladores se resguardaron en la caseta y no salieron de ahí en toda la noche, aunque a la una ya comenzaba a escampar. Un destello lívido con forma de araña se repartía por el aire, una llama glauca y temblorosa que se iba iluminando en los cercos metálicos de las sepulturas, recorrió el aire electrizado, quedó un instante en vilo sobre la tumba de Jacinto Paniagua, y por momentos parecía que la puerta estuviera a punto de incendiarse al contacto con aquella masa iónica. El último relámpago se ahogó en el horizonte de la Ciudad de México, y el Fuego de San Telmo pereció absorbido por la puerta que Israel había ideado.

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Hace tiempo, cuando iba en la preparatoria, volví a casa una noche y me recibieron con una bolsa blanca de una marca de ropa italiana, un regalo del tío José Alejandro para mí. La bolsa contenía tres camisas de seda, de inmediato se echaba de ver que le habían costado una lana, pero muy pronto fue conocido que tenían los codos agujereados. Se las devolví amablemente con su chofer, provistas de una aguja y un hilo y una nota donde le rogaba tuviera la gentileza de coserlas.
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Y ellas? Quiénes son ellas? Quiénes fueron en vida?, preguntó Cristóbal a uno de los músicos que habían perecido en un accidente automovilístico, indicando con una mano abierta que parecía pedir sin ánimo una moneda del cielo, el lugar donde una sombra de mujer, sentada en un bloque de cemento, al lado de su propio sepulcro abierto de par en par, abrazaba a una niña muy pequeña en sus brazos, a la que apenas se escuchaba llorar. El que había sido un excelente trompetista respondió, animado por las hogueras que ardían en grandes cubos metálicos, en torno a las cuales los lázaros pasaban sus noches de vigilia:

A ellas las fuimos a sacar entre Renato y yo. Por allá de la cuarta o quinta noche escuché unos tenues gemidos, que al principio creí ser de un gato. Cosas así se escuchan todo el tiempo. Luego constaté que provenían de debajo de la tierra, y de inmediato se lo comuniqué a Don Jacinto, pero aferrado como estaba en destenterrar su memoria, no me hizo caso. El cabrón no hace otra cosa que barajar nombres y cantidades de gente que le debía dinero cuando falleció. Parece que lo enterraron hace muy poco, de modo que cierto papel que traía cosido a su saco cuando fue emboscado por un aneurisma, se conserva legible. Y sabes qué es lo que trai el chingado papel? Una lista de deudores. Jacinto Domitilo está convencido de que le permitirán salir del cementerio para reclamar sus ahorros bancarios y cobrar lo que se le audeuda. No se puede contar con un hombre así, aún si está muerto. Renato, el percusionista de nuestra banda, quien esa noche se sentía terriblemente, entre las visiones aterradoras que lo perseguían desde del otro lado, y las chinches que estaban sobres con su cadáver, no obstante se prestó a ayudarme. Con una fuerza que me sorprendía, conseguí destruir la losa, de la cual no logré retener los nombres. Descavamos una eternidad para descubrir, luego de grandes esfuerzos, el cuerpo redivivo de una mujer que había sido enterrada con una niña en brazos, entusadas en un pequeño féretro… Lloraban de miedo, al principio la mujer se resistía a moverse, a hacer cualquier intento por volver a la superficie. No ha dejado de orar desde entonces.

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Una esencia de rosa envolvió a Cristóbal Inés mientras Saranela extendía sus alas y los remanentes de la prisión se iban resquebrajando, los trozos de mármol degajándose de ella como costras viejas. Las manos ligeras de la estatua comienzan a trazar caminos en el aire, como remos que nacen a las aguas, emulando un vuelo. Asiste al amanecer de sus senos. Luego busca el modo de descender del pedestal en que había estado en pie durante años. Saranela desprendía por todo su cuerpo un fuerte hálito de luz perfume raro y pesado, que en un instante había vuelto el aire irrespirable, y Cristóbal tosió y creyó que se quedaba ciego, y le hubiera gustado llorar inmóvil ante aquella figura libertada, que nunca dejaría de conmoverlo, aunque muy bien podía tratarse de su puerta de entrada al laberinto de la ceguera y la locura, donde sería una voz y un silencio errantes, un hombre que no consiguió volver a casa, un quedado en el viaje. En eso momento nada tenía tanta importancia como lo que estaba ocurriéndole. La que había sido estatua propia buscaba el modo de echar pie a tierra. Pudo haber emprendido el vuelo desde donde estaba, ahora que era libre de hacerlo. Porque se iría, de un momento a otro su partida debía consumarse. Pero antes de volar, Saranela quiso bajar a la tierra. Un instante que sería el más breve de su existencia labrada en solitarias eternidades. Pasajero como el rubor que subía por su carne. Atraído por aquellos esplendores, Cristóbal se aproximó a la base granítica, alargó su brazo derecho y ofreció su mano a la que ya no era estatua: tenía algo importante que decirle. Y ella demoraba su vuelo y se hurtaba a su destino de nubes porque quería escuchar. Era una estatua curiosa. Cuando sus manos se tocaron nació un árbol en alguna parte. Entonces la mujer dio el salto. En los brazos del tambaleante Inés, Saranela respiró profundamente el aire salitroso del cementerio, apenas lavado por la lluvia. Pegó su nariz al pecho de Cristóbal, y pasó la lengua varias veces por el cuello y el rostro que sus manos estrechaban. Con un beso exhaló el tiempo de un saludo, a medida que una lengua tibia y correosa tendía puentes y cavaba túneles en su boca despertada. Cayeron de hinojos en el barro, entrelazados tenzamente, y después de una mirada de ávido reconocimiento estallaron en risas. Se amaron en un lecho de humus fresco, entre perpetuidad y renacuajos.

A un lado de ellos, la fosa con el ataúd anegado que unos días atrás quedó vacante. El sepulcro del hombre que esculpió a Saranela para que custodiara su sueño, como una casa que el dueño dejó sin cerrar.

Saranela revolotea y brama con celo, el plumaje que hace sombra en su espalda lo salpica todo de un color glauco. Saranela se curva dulcemente sobre su espalda mientras las venas Cristóbal se estiran hacia ella como raíces, un árbol de follaje oscuro que se va llenando de pájaros en su vientre.
La carne que le fue dada huele a ostra y sabe a uvas añejas.
*
Te doy turquesas del Sinaí, obsidianas de Anatolia, esmeriles palestinos del color de la brisa mediterránea. Rosas de Damasco para tu seno, fragancias arábigas que beban las horas del tigre en tu cuello. Ritmos dionisíacos de Tracia, canciones de cuna de alguna corte normanda. Un piropo en langue d’oc, o en chontal. Te doy también los tremulantes puentes del humoso Periférico, sobre todo los del sur, de San Jerónimo en adelante, y especialmente el de Cuicuilco, de todos el más querido por el sol, el cual ni tú ni yo podríamos recordar cuántas veces hemos cruzado.
*
En la casa de la Roma hay un intérprete de bolsillo en octavo, de pastas anaranjadas, que le perteneció a mi padre. El viejo era un apasionado de París. Recuerdo esa boina puntiaguda que trajo alguna vez a su vuelta de cierto viaje a Europa, el extraño juego que hacía con su ancha cabeza de ídolo tabasqueño me hacia reír tanto. Cuando se emborrachaba, yo sacaba partido de su adormecimiento para quitársela y se la ponía a mi hermano, que siempre quería jugar mis juegos, y los sazonaba con ideas tan sabrosas como ataviar con la boina a alguno de los muchos perros que tuvimos. Al viejo nada de eso le importaba, en aquellos momentos, en realidad era como organizar bromas para un fantasma, el dueño del intérprete français-espagnol anaranjado, asiduo bebedor de lejanías. Aún recuerdo el orgullo de su pecho cuando aseguraba que él no se había perdido una sola vez en París ni en Tokio. Acaso el cuento no fuera del todo inverídico: dejó un cajón repleto de mapas, mapas árticos, mapamundis, cartas geográficas de Singapur, planos turísticos del centro de Caracas o de Minnesotta. Itinerarios del metro de París. (Comment est-ce-qu’on dit un chingo de boletitos en francais?). La música de esos nombres sigue fascinando y fascinará mis oídos aún si llega el día en que se me llenen de pelos blancos.

Simbolismo doméstico entre los huicholes

*
Quizá la historia universal es la historia
de unas cuantas metáforas…
Quizá la historia universal es la historia
de la diversa entonación
de algunas metáforas.

Jorge Luis Borges, "La esfera de Pascal"


Los wixarika

Los indígenas huicholes o wixarika (“los profetas, los sanadores”) tienen su asentamiento principalmente en la Sierra Madre Occidental, ocupando parte de los estados de Nayarit y Jalisco. Habrían llegado a esa región provenientes acaso de San Luis Potosí, cuyo desierto mágico (Wirikuta) es el destino de una importante peregrinación religiosa que los huicholes emprenden una vez al año en busca del peyote, la flor de la divinidad. Su lengua, perteneciente al grupo cora-huichol, proviene a su vez del grupo nahua o aztecoide, de lo cual se deduce una fuerte influencia mesoamericana: en la actualidad cuenta con unos 20,000 hablantes nativos. La historia de los wixarika tiene sustento al interior de la comunidad en una arraigada tradición oral, que comprende una cosmogonía, una ética y un protocolo ceremonial, y desde el exterior en relatos tan antiguos como los de Alonso Ponce (1587), donde nos habla de una etnia que se unía a los guachichiles para realizar irrupciones en los asentamientos españoles en San Luis Potosí, una sede que desde entonces era sagrada para nuestro grupo.

Geografía y cosmos

Acerca de la concepción del cosmos y los modelos de distribución del espacio, el historiador Enrique Florescano recuerda un libro titulado El mito del eterno retorno, donde

Mircea Eliade decía que una regla general universal de los mitos de creación era el propósito de dividir y ordenar las regiones del cosmos. Las cosmogonías mesoamericanas siguen puntualmente este modelo: los actos inaugurales que concentran la atención de los dioses creadores son la división del cosmos en los tres niveles verticales, el señalamiento de las cuatro esquinas del universo y la definición del centro del espacio cósmico. Esta división es un ordenamiento del cosmos y la fundación de una geografía. (Memoria mexicana, 2002)

Si bien los huicholes, a causa de su latitud geográfica, se encuentran más próximos a la superárea cultural de Aridoamérica, la filiación de su lengua con el mundo mesoamericano es inveterada, e implica la adopción de categorías más hondas, comenzando por una idea prístina acerca del universo y los hombres, y tomando en cuenta que su cuadro alimenticio es el mismo: maíz, chile, calabaza y frijol, al igual que en todo Mesoamérica. La palabra es el vehículo divino y la fertilidad por excelencia, un regalo de los dioses para el hombre, el fin de su animalidad y el principio de su espíritu. El lenguaje es ese desierto donde la creación del mundo se celebra infatigablemente. Cuando nombramos las cosas con los mismos nombres que les dieron nuestros antepasados, la mirada que arrojamos al mundo está llena de lo que ellos vieron, de lo que ellos crearon: sus inspiraciones tanto como sus temores se vuelven nuestros también. Es así como la filiación nahua de la lengua wixarika nos remite de inmediato a otros órdenes paralingüísticos, comenzando por la idea general del universo, obra de la palabra perdida de los dioses. Los aztecas imaginaron un cosmos dividido en cuatro rumbos y ordenado en torno a un centro mágico, y construyeron pirámides exotéricas de cuatro caras, siguiendo la arquitectura divina, en conmemoración de aquel cerro primordial donde el caos fue ordenado por primera vez, donde los dioses se reunieron para crear las olas, los astros, los árboles, las piedras y las mariposas: cuna mistérica de toda la humanidad. Esta síntesis geométrica del infinito tiene una correspondencia puntual en el enriquecido mundo simbólico de los huicholes, que por un lado prescinde de la arquitectura monumental característica de otras culturas, mas por el otro impregna cada detalle de su vida cotidiana con señales, recordatorios y representaciones de ese orden trascendental. Examinemos una pieza de artesanía huichol, uno de los rombos tejidos llamados primorosamente Ojos de Dios.

Estamos de acuerdo con Harvey en que:

the cross of the ojo de dios is that of the legendary four directions: earth, fire, water, and air. It is not in any way the cross of Christ. Their art is directed to the gods of nature. (Harvey, 1973)

Sin embargo hallamos que las cuatro direcciones del universo también dan al espacio un carácter sensible profano que Francois Chatelet (La Naissance de l'histoire: la formation de la pensée historienne en Grèce, 1961) atribuyó de manera exclusiva al tiempo: se trata de las cuatro capitales de la autonomía política huichol, repartidas de manera tetrangular en los estados de Nayarit y Jalisco, representadas por las esquinas, por los bordes del ojo que vio antes que ninguno. Estas capitales, desde donde se levantan las columnas que soportan el peso del cosmos, son: San Sebastián, San Andrés Cohamiata, Santa Catarina y Santiago Ixcuintla. Es el espacio donde el hombre nace a la mirada de los dioses, donde el abuelo fuego Tatei Tatehuari nos dio la palabra, y con ello, también algo de su propia mirada, de su amorosa mirada ígnea. Y al mismo tiempo vemos el mapa de una tradición política, el estandarte de una libertad creativa y espiritual que nos dio a Mondrian y a Kandinsky mucho antes que el siglo XX europeo, y que ha soportado una pobreza de centurias, una larga desposesión que corresponde a lo que Braudel entendía como factores de larga duración en la historia de un pueblo. Desde los estudios recientes de la antropología podemos aprender que la pobreza también conoce un lado estático dentro de la historia. Esta memoria de dolor y peregrinaje inmemorial hacia la libertad es sublimada con hilos y colores y así es como los hogares la preservan. Así es como Mezcalito, ese artista de la verdad que mora en el híkuri, unge con sus pinceles la mirada del hombre que busca su verdad. El rombo es una de las formas puras particulares de los huicholes, y la disposición tradicional de los interiores la ha asimilado por completo, al igual que su intenso y equilibrado colorido. No existe relación alguna con los rombales mágicos que los griegos utilizaban en sortilegios. Su ser se parece más a un papalote, al misterio de los colores de la mariposa.

Los dioses domésticos

En el mundo wixarika cada objeto es portador de una totalidad cerrada, el sistema está contenido rigurosamente en cada una de sus partes. Todos los datos psicosociales derivados de su estudio piden que no descuidemos la lectura simbológica. Los objetos de uso corriente, como la jícara hecha de guaje, la flecha, las plumas, el estambre, las latas de cerveza, la coca cola (en buena medida determinados por el entorno, salvo el caso tan singular del peyote, cuya cosecha ritual ha de efectuarse en el desierto de Real de Catorce, en el estado de San Luis Potosí, una vez al año), cada uno de los rudimentos domésticos demanda una existencia doble, que cabalga entre su utilidad en las labores de subsistencia del grupo, y el hilo maravilloso de su simbolismo, que los vincula con el otro mundo.

El telar, por ejemplo, es un elemento constante al interior de las viviendas huichol, y es también un indicador del trabajo de la mano femenina en las familias nucleares. Las bordadoras reciben en sueños (la noche es también la mujer) a una vieja serpiente que conoce todos los diseños y los motivos posibles, sabedora de las formas eternas y los colores del universo, que en sus visitas nocturnas les comunica los secretos más antiguos del bordado. Podemos encontrar con frecuencia obras incompletas de bordado, de las que penden hilachos: sería un error atribuir esta imagen al descuido o a la negligencia. Las serpientes de esos cabos tampoco son fortuitas, sino que auguran una vida prolongada. El mundo está hecho de hilos. No ha de ser humana la mano que los despunte.


Las casas suelen estar hechas de muros de piedra y adobe, y sus techos consisten en manojos de zacate. Encontramos también, en zonas más cercanas a la costa, viviendas de carrizo con barras y paredes construidas de piedralodo, y techos de paja o de palma. Sus cuatro esquinas lo son también del universo. El signo útil de estos espacios es la versatilidad. Su vida diurna es presidida por los más antiguos oficios maternos, como la crianza y el cuidado de los niños, la preparación de los alimentos, la confección de los implementos domésticos que depende de la esposa y de las hijas, y el amplio sitio de dignidad que recibe el trabajo artístico en la vida de nuestros wixarika. Hay un hogar para el fuego, en hornillas de tabique o estufas de mampostería. Hay también, en un sitio de primacía, altares con ofrendas al venado azul, y el implemento ceremonial denominado nierika, del cual Carl Lumholtz nos dice que “significa una pintura, una apariencia, o una representación sagrada” (Negrín, 2003)

Las representaciones del peyote (Lophophora williamsii) que arroja el agradable repaso de diversas nierikas bordadas, relacionan la vida espiritual del hombre con la forma esférica del cacto que contiene al dios inasible, y con la elevación del alma hacia las regiones donde priva el silencio de las esferas, en una idea formal de la divinidad que también le fue afín a Pascal. Borges nos recuerda que Parménides de Elea:

"repitió la imagen ("el Ser es semejante a la masa de una esfera bien redondeada, cuya fuerza es constante desde el centro en cualquier dirección"); Calogero y Mondolfo razonan que intuyó una esfera infinita, o infinitamente creciente, y que las palabras que acabo de transcribir tienen un sentido dinámico (Albertelli: Gli Eleati, 148). Parménides enseñó en Italia; a pocos años de su muerte, el siciliano Empédocles de Agrigento urdió una laboriosa cosmogonía; hay una etapa en que las partículas de tierra, de agua, de aire y de fuego, integran una esfera sin fin, "el Sphairos redondo, que exulta en su soledad circular". (Otras inquisiciones, 1960)

La incorporación del disco sagrado entre las cuatro paredes de lo doméstico busca la cuadratura del círculo, la armonía entre el orden cotidiano y el orden astral, la memoria del dios fuego que nutre y da cobijo.

La versatilidad consiste en obtener de esos espacios exiguos un máximo de rendimiento, alternando una disposición del mobiliario de acuerdo con los ciclos vitales, ante la carencia de estancias asignadas a cada cosa. A la noche los petates del amor y de los sueños son desplegados sobre el piso de la vivienda y las familias condescienden a la noche en el centro de su universo a escala. Esa duplicidad que hay en el cotidiano del huichol, en los terrenos de lo real/simbólico, se da también en la transformación rutinaria del espacio doméstico que lo desdobla en dos dimensiones: una lunar, determinada por el sueño y el recuerdos de los ancestros muertos, y otra solar, que anima la danza del fuego doméstico y los juegos de los pequeños.

Notoriamente las divisiones internas, los dominios íntimos no existen, aun cuando algunas familias poseen en la actualidad viviendas con varias habitaciones. A diferencia de occidente, su intimidad carece de ojos de cerradura. La vida familiar al interior de la casa transcurre en una sola estancia que como hemos visto es, según los días y las noches, dos estancias, en las que todos los miembros del núcleo han de coexistir en los horarios asignados para ello o según lo marquen las festividades. Esta comunidad del hogar resalta la tenaz integración de cada uno de los miembros al báculo familiar, y con ello a una estructura afectiva tan inmanente, que convierte al mundo exterior en una continuidad de un orden establecido familia por familia. Eso explica que a nuestra mirada los hijos de los wixarika se parecen mucho a sus padres, sobre todo en el temperamento, más allá de las semejanzas físicas atribuibles a la endogamia natural en un grupo con escaso crecimiento demográfico. Cuando los huicholes construyen un hogar, de acuerdo con sus posibilidades materiales, están de algún modo fundando un orden moral (y psicológico), que determina que los hijos habrán de buscar la vida allende esas cuatro paredes lo antes posible, y eventualmente, volver para tomar la mano de la tradición. Sin embargo la noción romántica de individualidad le es por completo ajena. La cuestión es más simple: formar hombres, y encaminar con bien a las mujeres al máximo aprovechamiento de sus capacidades.


Entre wixarikas el arte no está separado de sus responsabilidades. Hombres y mujeres hilan la maravilla, los nombres de dios, el tiempo que no mejora. Y en el hogar, urden entre ellos un lenguaje tan directo y cristalino y sin muros, sobre el telar de los años, una proximidad de la carne que no requiere demasiadas palabras para entenderse con suma precisión. Porque todos son un poco todos.